44
LISI 2016 DOCUMENT DE RÉFÉRENCE
■■
Ankit Fasteners Pvt Ltd est passée d’une consolidation par mise
en équivalence à une consolidation par intégration globale au
1
er
janvier 2016, suite à la prise de participation majoritaire du
Groupe LISI.
■■
Le 1
er
août 2016, le Groupe LISI a cédé au Groupe DAHER
l’ensemble des actifs corporels et incorporels de son activité
« Floor covering – Aménagement intérieur » appartenant à sa filiale
INDRAERO SIREN. Les actifs concernés sont non significatifs aux
bornes du Groupe.
2.3.4
I
Acquisitions de filiales
En application de la norme IFRS 3 sur les regroupements d’entreprises,
le Groupe LISI dispose de 12 mois à compter de la date d’acquisition
pour procéder à l’allocation définitive du prix d’acquisition et au
calcul définitif de l’écart d’acquisition. En conséquence, les montants
comptabilisés au 31 décembre 2016 dans le cadre de l’acquisition
de LISI MEDICAL Remmele seront susceptibles d’être revus lors des
clôtures ultérieures.
L’impact de cette acquisition sur le bilan consolidé du Groupe se détaille comme suit :
(en milliers d’euros)
Juste valeur reconnue
à la date d’acquisition
Notes
Actif immobilisé
42 266
2.7.2
Autres actifs et passifs courants nets
2 786
Stocks nets
8 998
2.7.2.1
Dettes financières nettes
(3 850)
Impôts et provisions
(380)
Trésorerie et équivalent de trésorerie
0
TOTAL SITUATION NETTE DE LA SOCIÉTÉ ENTRANTE
49 820
% des valeurs d’actifs repris
100
Quote part des minoritaires
Quote part situation nette acquise par Hi Shear Corp
49 820
Prix d’acquisition
93 410
Écart d’acquisition
43 590
2.4
I
GESTION DU RISQUE FINANCIER
Le Groupe est exposé aux principaux risques suivants liés à
l’utilisation d’instruments financiers :
–
–
risque de crédit ;
–
–
risque de liquidité ;
–
–
risque de marché,
–
–
risque de taux ;
–
–
risque de change ;
–
–
risque sur matières premières.
Cette note présente des informations sur l’exposition du Groupe
à chacun des risques ci-dessus, ses objectifs, sa politique et ses
procédures de mesure et de gestion des risques, ainsi que sa gestion
du capital. Des informations quantitatives figurent dans d’autres
paragraphes des états financiers consolidés.
La politique de gestion des risques du Groupe a pour objectif
d’identifier et d’analyser les risques auxquels le Groupe doit faire face,
de définir les limites dans lesquelles les risques doivent se situer et
les contrôles à mettre en œuvre, de gérer les risques et de veiller au
respect des limites définies.
2.4.1
I
Risque de crédit
Le risque de crédit représente le risque de perte financière pour le
Groupe dans le cas où un client ou une contrepartie à un instrument
financier viendrait à manquer à ses obligations contractuelles. Ce
risque provient essentiellement des créances clients et des titres de
placement.
Clients et autres débiteurs
L’exposition du Groupe au risque de crédit est influencée
principalement par les caractéristiques individuelles des clients. Le
Groupe a mis en place une politique de suivi des créances clients
permettant de contrôler en permanence l’exposition de son risque
crédit par tiers. Le Groupe considère que le risque de crédit sur les
créances échues non dépréciées est contrôlé.
Au 31 décembre 2016 le montant des provisions pour créances
douteuses s’élève à 3,7 M€ rapporté à un montant total de créances
de 226,3 M€. Le montant des pertes définitives comptabilisé sur
l’exercice est de 0,3 M€.
Risque sur titres de placement
Au 31 décembre 2016, le bilan du Groupe fait ressortir un poste
trésorerie et équivalents de trésorerie de 141,7 M€ (cf §2.6.2.3
Trésorerie et équivalents de trésorerie). Les équivalents de trésorerie
sont essentiellement constitués de valeurs mobilières de placement
représentées par des SICAV monétaires investies en titres de maturité
très courte et ne représentant pas de risque en capital, conformément
à la politique de gestion de trésorerie du Groupe. En accord avec les
règles comptables, ses placements sont évalués à la clôture à leur
valeur de marché et sont classés en trésorerie.
2.4.2
I
Risque de liquidité
La gestion de trésorerie du Groupe est centralisée : la très grande
majorité des excédents de trésorerie ou des besoins de financement
de ses filiales, lorsque la législation locale le permet, est placée
états financiers consolidés
3