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LISI 2016 DOCUMENT DE RÉFÉRENCE

1.2

I

LIMITATION DES POUVOIRS

DE LA DIRECTION GÉNÉRALE

La Direction Générale dispose des pouvoirs les plus étendus pour

gérer la société dans la limite de ceux dévolus par la loi et les statuts

au Conseil d’Administration.

1.3

I

STRUCTURE DE DIRECTION

Conformément à sa décision du 21 octobre 2015, le Conseil

d’Administration en date du 17 février 2016, a choisi de dissocier

les fonctions de Président du Conseil et de Direction Générale ; ces

fonctions ont été assumées à compter du 1

er

 mars 2016, pour les 1

res

,

par Monsieur Gilles KOHLER et pour les secondes, par Messieurs

Emmanuel VIELLARD en tant que Directeur Général avec à ses côtés

Monsieur Jean-Philippe KOHLER en tant que Directeur Général Délégué.

La présence d’administrateurs, actionnaires majoritaires ou

indépendants, ainsi que celle d’un administrateur référent ont permis

au Conseil de considérer que cette dissociation des fonctions de

président et de directeur général était conforme à la protection

des intérêts de l’ensemble des actionnaires, en particulier ceux des

minoritaires, en restant adaptée à l’activité de la société.

Pour remplir leurs missions exécutives, le Directeur Général et le

Directeur Général Délégué s’appuient sur :

1) un Comité de Direction de 6 personnes qui se réunit mensuellement

pour l’examen des dossiers majeurs traités par le Groupe ;

2) un Comité Exécutif regroupant les directions des divisions et la

direction du contrôle interne, soit au total 18 personnes qui se

réunissent tous les trimestres pour faire un point d’avancement sur

les principaux chantiers d’amélioration.

1.4

I

RÉMUNÉRATIONS ET AVANTAGES

EN NATURE

Les principes et règles de rémunération des mandataires sociaux,

exposés et proposés au Conseil par le Comité des Rémunérations

chaque année, sont exposés au chapitre 7 du Document de référence

relatif à la politique de gouvernement d’entreprise. Il présente en

particulier les informations prévues à l’article L225-100-3 du code de

commerce et les tableaux prescrits par le code AFEP/MEDEF.

1.5

I

RÉFÉRENTIEL DE CONTRÔLE INTERNE

La Direction du Contrôle Interne a élaboré un nouveau Référentiel

de Contrôle Interne en 2011 qui s’appuie sur un Questionnaire auto-

déclaratif de 130 questions reprenant l’ensemble des processus du

Manuel de Contrôle Interne : achats, investissements, ventes, stocks,

trésorerie, ressources humaines.

En 2015, ce questionnaire a fait l’objet d’une refonte partielle dans le

but d’augmenter le niveau d’exigence du contrôle interne. A ce titre un

processus supplémentaire comprenant 24 questions a été introduit :

la maîtrise de nos Systèmes d’Information.

Des missions d’audit réalisées depuis 2012 ont permis de valider (ou

d’infirmer) le niveau de contrôle interne déclaré dans chacune des

unités de gestion ; elles se sont poursuivies tout au long de l’année

2016 avec 11 missions réalisées.

Ainsi, et compte tenu de l’accroissement des exigences du contrôle

interne décrite ci-dessus, le niveau de score global du groupe (84 %)

perd 2 points par rapport à l’exercice précédent, mais reste au-dessus

de notre objectif minimum de 80 %.

Nous estimons que l’accroissement des exigences du contrôle

interne provoque une perte d’environ 5 points sur les scores

réalisés antérieurement, tandis que l’impact du chapitre « Systèmes

d’Information » serait de l’ordre de 3 points.

Une analyse plus détaillée par Business Group montre que l’ensemble

des BG affiche un score au-dessus de 80 % à l’exception de la BG

Structural Components de LISI AEROSPACE qui affiche un score de

78 %.

Enfin, une analyse par processus indique :

Que les processus RH, Trésorerie et Immobilisations affichent des

scores solides (> 80 %)

Que les processus Stocks, Achats, Ventes et SI doivent encore

progresser (< 80 %)

En 2016, le contrôle interne a porté plus particulièrement ses efforts

sur l’intégration des entités entrantes dans le périmètre du groupe :

LISI MEDICAL Remmele aux USA et Ankit Fasteners en Inde.

Enfin, la Direction de l’audit interne a instauré en 2016 des CCI –

Comités de Contrôle Interne – ayant pour objectif de réfléchir à

l’amélioration de nos pratiques sur des thèmes spécifiquement

choisis. Ces CCI réunissent les référents du contrôle interne dans les

divisions avec les Managers concernés selon les thèmes abordés :

RH, SI, Stocks etc. Ces travaux seront bien évidemment poursuivis

en 2017.

Cartographie des risques

Les principaux risques identifiés dans le cadre de la planification

budgétaire et stratégique à moyen terme sont de 4 ordres :

■■

Des risques marchés à anticiper au mieux au sein de toutes les

divisions :

éventuels effets de sur stockage sur la base des contrats en

cours ;

forte pression à la baisse sur les prix hors contrats ;

opportunités manquées sur d’importants nouveaux marchés ;

marginalisation par insuffisance de taille critique dans un cycle

de concentration des acteurs du même métier.

■■

Des défis industriels à relever :

des programmes de productivité indispensables à réaliser

pour pérenniser certaines activités industrielles et préserver

la compétitivité dans des zones de coûts élevés, parfois

accompagnés de reconversion sur des segments de métier plus

attractifs ;

Documents spécifiques à l’assemblée générale

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